Le MICHAprès des semaines à chercher pour trouver un vol à un prix abordable, j’ai pu enfin trouver un vol à un tarif raisonnable. En effet après le covid et la guerre en Ukraine un simple aller vaut le prix d’un aller-retour en 2021.
Heureusement, je peux profiter de mon noveau statut de vacancier à vie pour trouver deux dates avec quasiment le même tarif que l’année dernière.
Nous partirons donc le 29 septembre sans prise de tête et avec le temps de se préparer.
Enfin ça c’est ce que je croyais ! Si tout c’était bien passé jusqu’à Marseille, une des roulettes d’une des valises a montré des signe de fatigue. Arrivé dans le hall de l’aérogare, pas de vol annoncé, pire sur mon téléphone le vol passe à CANCELED. Je fonce à l’accueil, l’hôtesse me confirme qu’il n’y a pas de vol à cause de la grève des aiguilleurs du ciel européen.
Bababoom (expression du moyen âge) tout s’écroule ! Pas vol pour Madrid ce soir, ça veut dire pas de moyen de monter dans l’avion pour mexico à minuit. Je demande à l’hôtesse les bureaux d’Iberia. Elle me répond qu’il y pas de bureau à l’aéroport tout devra se faire par téléphone.
Je stresse un peu et espère surtout que la conversation se fera en français. Impossible de trouver une place ni ce soir ni dans les prochains jours. J’use deux hôtesses qui me raccroche au nez au bout de 30 minutes (parfois on aimerai que les conversations enregistrées soient écoutée) . Je me doute que ce doit être la guerre dans leur bureau mais quand même ! Je recommence une troisième fois après tout je n’ai que ça faire la voiture est dans un parking à Vitroles et il me faut une solution.
Le troisième appel est presque le bon, l’hôtesse parle très bien français comme les autres mais elle elle me trouve des places mais le logiciel ne l’a laisse pas réserver les places. Elle m’assure qu’il y a des places et de rapeller plus tard. Je rappelle le parking qui me ramène à ma voiture et on décide de manger à Martigues. Juste avant le repas je tente le coup de rapeller Iberia et là, l’hôtesse trouve des places pour le deux octobre, elle réserve et je reçois la confirmation par l’application Iberia.
Arrivé à la maison on est un peu dépité mais soulager de pouvoir partir.
Dimanche 2 octobre on recommence, à Marseille l’avion est bien sur les écrans. On est en avance et on est obligé de patienter pour enregistrer les valises.
Les valises s’est un peu notre stress depuis l’année dernière (voir les articles sur le Mexique 2021). On a changé la valise de jeudi. Au moment de l’enregistrement l’hôtesse me dit “Vous voulez que les valises aillent directement à Mexico?”. Elle se moque ou quoi ! Je lui répond àvec un sourire “oui je prefererai !”
Les vols se passent bien, Madrid Mexico est un vol de nuit on dort beaucoup (enfin moi). Je fais connaissance avec ma voisine de siège qui une brésilienne qui vit avec un allemand en Allemagne. On discute un moment et comme elle veut en savoir plus sur les transports à Mexico je lui dit que mon fiston est à la sortie et qui lui donnera les renseignements. Mon espagnol a des limites !!!
Arrivé à la douane je m’interroge de ne pas avoir eu à remplir le documents de l’immigration. Je demande à une dame qui fait l’aiguillage et qui me dit que il n’y p’us besoin du papier. Décidément je suis vite dans le bain avec mon espagnol que je croyais oublié depuis la fin des cours
L’immigration me pose quelques questions sur le nombre de jour, la destination et les raisons du voyage et on passe rapidement.
Arrivé aux bagages la première valise à sortir est la notre. Super et la deuxième sort rapidement !
Les miracles existent !
On passe la douane et Bastien renseigne ma nouvelle amie de l’avion.
Direction le bus pour queretaro. Le jour se lève sur le chemin pourtant j’ai encore dormi.
Arrivé à la maison, on est en forme.
On retrouve Maria et le petit nouveau
La journée commence au Mexique mais nous voyageons depuis environ 24 h et même après un bon repas la fatigue nous ratrappe. Demain on sera en forme !
