Nous sommes arrivés à bon port (même si la mer est encore loin) après une vingtaine d’heures de voyage.

Enfin un voyage sans encombre ! il faut dire que nous avions mis de la marge en partant à 13 heures de Montélimar. Nous sommes arrivé sans encombre au parking à Vitroles . Là j’avais un peu oublié de prendre le papier du parking quand le gars arrive vers moi me demande mon nom et fonce dans son bureau pour revenir avec le dossier avant et que je lui explique que j’avais oublié les miens. La navette est déjà là, on charge les bagages et go l’aéroport.

Juste un petit mot pour vous expliquer qu’on ne laisse pas la voiture au parking de l’aéroport mais dans un parking à Vitrolles. Il y a beaucoup de parkings comme cela autour de l’aéroport et le prix est vraiment intéressant. Par exemple pour le mois je payerai 149€ bien moins cher que les parkings de l’aéroport. Comment ça marche ? c’est très simple vous réserver soit par internet soit par téléphone. Quand vous arrivez, ils prennent votre voiture en charge, ils notent le kilométrage pour prouver qu’ils ne l’ont pas utiliser et ils vous transportent jusque quasiment devant la porte (à une centaine de mètres).

Pour le retour vous les appelez quand vous passez la douane et ils sont là avec la navette pour vous ramener à la voiture. On a utilisé Alterpark  ce coup-ci mais nous avons aussi utilisé ECOLOWPARK dans le même coin environ 10 minutes de navette.

Bref revenons a notre vol, nous sommes arrivé beaucoup plus tôt que prévu à Marignane et l’enregistrement ne se fait que 2h avant car il n’y a pas beaucoup de vols Iberia à Marseille. Nous avons donc patienté deux longues heures au bar ( non, non sobrement !!)

Premier à l’enregistrement, premier au contrôle des bagages à main, sans soucis et c’est parti pour deux heures d’attente avant l’embarquement. L’aéroport de Marseille est en travaux  depuis quelques temps et sûrement pour un bout de temps. Il n’y a pas de gène à l’intérieur mais quand on voit la complexité des travaux avec un aéroport qui reste en fonctionnement bravo les gars !

Bref on embraque sans problème dans notre bombardier d’Iberia (Ps : pour les fort en aéronautique comme moi , c’est la marque de l’avion pas sa fonction !)

Direction Madrid !

A Madrid on arrive au couché du soleil et pour une fois il ne pleut pas ! Les mexicains ne passent plus à l’heure d’été donc au lieu de deux heures d’attente ce sera trois. Bref c’était prévu mais on embarque à 23h55. Autant vous dire que je commence à avoir sommeil. Tellement sommeil que je lutte pour voir la vidéo des consignes de sécurité et que je dort au moment du décollage.  A un moment j’entend une voix me demander si je veux « pasta o pollo »… ben moi je veux continuer à dormir. Je prend une bouteille d’eau et j’y retourne. Je dors jusqu’à deux heures de l’arrivée, le temps de se réveiller c’est l’heure du petit déjeuné. Chouette un café croissant…. Heu non on est pas en France, ce sera sandwich au jambon cru (ça ne vaut pas celui qu’on a mangé à l’aéroport de Madrid, super bon mais super cher les 20cm de Sandwich à 14€) et un kitkat avec le café.

Il est 3h30 du matin à mexico quand on se pose et il fait 18°. On arrive à l’immigration, depuis l’année dernière il n’y a plus de papier à remplir dans l’avion, les données sont enregistrées par la migration.

Quelques questions au début en anglais mais je lui dis que je préfèrerai en espagnol. Les questions sont les mêmes que pour le papier, où va-t-on ? combien de temps on reste ? et  il faut montrer la preuve de notre billet de retour.  C’est cool je m’en sors plutôt bien ( merci au cours de notre super prof d’espagnol à l’Université Populaire de Montélimar).

On récupère les deux valises. Au départ petit coup de stress on ne les voit pas sur le tapis, en fait elles étaient passées avant qu’on arrive et elles étaient posé sur le côté avec pleins d’autres.

Cette année on prendra le bus tout seul après avoir passé la douane..

A la douane nous n’avons rien a déclarer donc on passe par la file « rien à déclarer » et au milieu du hall un douanier s’avance vers nous et me demande de poser les bagages sur la table. Le chien a reniflé quelque chose.

Bref on ouvre les valises, super confiant. Ils mets les mains dedans, les fouille jusqu’à trouver deux pot de pâte à tartiner il me demande  si c’est du miel (il faut que je regarde si le miel est interdit). Je lui répond que non et il me demande ce que c’est ! Il me manque encore beaucoup de mots en espagnol mais ceux-là jamais vu (et alors prof !!!).

On va dormir en prison à cause de la pâte à tartiner ! le douanier regarde son chien …qui aime la pate à tartiner et qui s’est jeté sur un groupe de personne. Il me dis que c’est bon, de refermer les valises et que nous pouvons sortir. Apres avoir fait la fête au gens le chien est reparti.

Direction les bus, il est 4h du matin on prend les billets pour 4h50. Encore trois heures de bus, j’en profite pour dormir encore une heure. Et là on voit le jour se lever, le soleil est là bien rouge dans le ciel. Un avertissement sûrement pour nous dire qu’il va faire très chaud (trop pour moi). A l’arrivée Bastien est là, on se pose et on file manger un petit déjeunée à base de salade fruits frais et d’un grand americano.

Il y a plus qu’à s’habituer à la chaleur maintenant !

Le MICH

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